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Saint-Seiya - Dragon Ball - Hokuto No Ken

Saint-Seiya : la légende

Ma passion pour les mangas est sans aucun doute due à la découverte de cette série devenue mythique.
C'est en avril 1988, que je découvre pour la première fois les épisodes de la série. Dès le premier vrai combat, c'est le coup de foudre.
Le charisme des personnages, leurs esprit de sacrifice, l'inspiration mythologique et le design des armures : j'adhère complètement à Saint-Seiya, "Les chevaliers du zodiaque" selon la version française diffusée le mercredi après-midi par la programmation jeunesse de TF1.

saint seiya
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Le logo et les images Saint-Seiya ainsi que tous les noms des personnages sont le copyright de Masami Kurumada, Shueisha et TOEI Animation.

DragonBall : la baston

C'est ici à un autre gros morceau du style shonen que je m'attaque.
L'oeuvre de Akira Toriyama, contient 42 mangas dont l'histoire a été adapté en anime.
Avec DragonBall (153 épisodes) ,DragonBall Zeta (291 épisodes) et DragonBall Great Travel (64 épisodes), c'est bien 508 épisodes qui sont passés au petit l'écran. Autant dire de DragonBall est une oeuvre qui s'est étalé sur plusieurs générations de spectateurs.

Depuis sa première apparition en mars 1988, Dragon Ball n'a cessé d'être diffusé et ceci malgrès les polémiques soulevées à propos de sa violence. A cette époque, la culture manga était tout à fait inconnue en europe et cela se traduisit par la diffusion à une heure de grande écoute de dessins animés destinés à un public adolescent voire adulte. Aujourd'hui, les fans ont grandi et les médias ont mûri face au phénomène manga.

J'ai fait partie de ces jeunes adolescents découvrant l'univers magique de Toriyama et son petit personnage naïf, charismatique et hirsute, Sangoku. A l'époque où le dernier épisode de Saint-Seiya était diffusé sur TF1 et où DragonBall Z faisait son apparition, j'ai abandonné le petit écran du mercredi après-midi. Il m'a fallut quelques années pour redécouvrir l'inocence de DragonBall et découvrir la compétition de DragonBall Z.

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Les logos et les images DragonBall, DragonBall Z et DragonBall GT ainsi que tous les noms des personnages sont le copyright de Akira Toriyama, Bird Studio, Shueisha et TOEI Animation.

Hokuto No Ken : la tragédie

Voici à présent une troisième série légendaire de l'animation Japonaise. Cette série fit jadis le choux gras des médias lorsqu'elle fût difusée sur TF1 le mercredi après-midi dans une émission destinée à un publique jeune. Il s'agit ici d'une totale méconaissance du publique cible de l'oeuvre. Hokuto No Ken est effectivement destiné à un publique plus adulte. La série est caractérisée par une violence extrême et un dessin gore à souhait. Pourtant, en lisant le manga, on découvre un univers empli de personnages extrêmement charismatiques aux funestes destins.

Il est bon de savoir que l'équipe de doublage a effectué un choix quelque peu malheureux (Surtout pour les fans de la série,) en effet, les traductions françaises ont volontairement choisi une approche humoristique afin de mieux faire passer la violence du contenu. Choix malheureux donc car il est en total décalage avec l'aspect dramatique et tragique du destin de l'homme au sept cicatrices.

Avertissement : cette section comporte des images qui peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes et des personnes impressionnables. Je ne pratique aucune censure par rapport à la violence contenue dans l'oeuvre.

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Les logos et les images Hokuto No Ken ainsi que tous les noms des personnages sont le copyright de Buronson, Tetsuo Hara, Shueisha et TOEI Animation.



Modifié par SandRock, le 12/08/2004        Tier-list SSCF.
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